Des choix. Nous en faisons tous en moyenne 35 000 par jour.
Selon nos possibilités et nos capacités, nous faisons ceux qui nous semblent les meilleurs à l’instant T et dans le contexte où nous les faisons même si nous les prenons souvent sans y réfléchir consciemment.
L’inconscient prend souvent le pouvoir lors de ces moments de dilemme : quoi acheter, où partir en vacances, que déjeuner à midi.
Nos parts consciente et inconsciente s’opposent parfois.
Daniel Kahneman, lauréat du prix Nobel d’économie en 2002, décrit dans son livre Système 1 / Système 2 :
Les processus de pensée automatiques sont rapides, efficaces et en dehors de la pensée consciente.
Il ne faut qu’un simple stimulus contrairement aux processus contrôlés qui sont un engagement déterminé et lent de la pensée consciente.
Selon nos possibilités, capacités et notre du carte du monde, nous faisons les choix qui nous semblent les meilleurs au moment et dans le contexte où nous les faisons, en fonction de ce que nous percevons comme valable pour nous.
Plus il existe de choix, mieux c’est !
Illustrons d’un exemple :
Vous décidez de partir en Angleterre pour y découvrir la culture Londonienne.
Cependant, vous redoutez un peu ce voyage car vous pensez que le seul moyen d’accéder aux terres britanniques se fait en voiture jusqu’à Calais puis le Ferry et vous avez la mal de mer.
Vous décidez quand même d’y aller malgré les seules informations de voyage dont vous disposez car vous ne connaissez que ça !
Arrivé au terminal de Calais, vous voyez le panneau “Tunnel sous la Manche” et vous comprenez que vous auriez pu prendre le Shuttle (train) qui vous aurait empêché d’avoir le mal de mer.
Vous saurez pour la prochaine fois, qu’il y a plusieurs façon de traverser la Manche.
Vous avez donc fait le meilleur choix possible compte tenu des informations dont vous disposiez.
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